Anna Maria née en Alger pendant la guerre où ses parents s’étaient refugiés pour échapper les lois raciales et le régime fasciste.
Son père Enrico avait un temperement plutôt solitaire mais il etait doué d’un sens profond du devoir, sa forte personnalitée aurait tendence à écraser le reste de la famille. Sa mère Jeanne Scebat, romancière et traductrice, était la douceur en personne, elle aussi s’enteressait aux gens malheureux, aux oubliés et elle en a fait le sujet de ses livres.
Ses parents appartenait tout deux à des familles de commerçants juives et ça fut un veritable conditionnement , savoir d’apartenir à une petite communauté de persecutés le produit une blessure. Son existence se présente sous le signe des voyages, des changements des pays, des séparations et de l’instabilité. Ses voyages répétés vont l’amener à fréquenter plusieurs écoles avec l’impossibilitée de connaître autres enfants. Pendant six ans elle vivra en Suisses, dans le 1952 son père serait nominé Consul d’Italie in Dakar et la transportation dans l’Afrique Noire a été un choc, elle se retruove soudain au milieu d’une colonie française et environnée par de peuplades primitives, le climat était éprouvant , elle ne supportait pas ce climat humide et sa mere tombée malade, non supportand le climat humide sa mere et elle se installerons à Grasse en France. La separation d’avec son père fut pour elle un nouveau effort d’adaptation. Elle était toujours balancée entre des sentiments contraires, changement d’écoles, different languages, habitudes on la font sentir toujours excluse.
Juste ces sentiments opposés l’amenent à peindre, la peinture le procurera des moments de paix intérieur et de calme mais fatalment la peinture la isolera et déclanchera des guerres interieure, des combat et des luttes d’où renaissera le desir de peindre.
La visite à la Biennale de Venice en 1954 décidera sa vocation de peintre, elle fut attirée surtout par les compositions abstraites, il s’agissait pour elle de réminissences essentielles avant leur organisation en formes figuratives.
Les gens disait “cela ne ressemble a rien” pour elle cela la transportait au dela de la representation, au delà du niveau riveanscience.
Denis Lavalle, romancier et critique d’art, écrivait qui elle n’a jamais cessé de s’interroger sur les lignes premières dégageant d’un paysage et il apparait aussi dans son oeuvre una autre pensée toute aussi riche et intéressante: la peinture des forms créés par nous même , mais que nous composons en tant que groupe humain.